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Discussion Generale (Actualité. L'arbre à Palabre) :: Alerte: Assassinat du Docteur de Blé Goudé

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Auteur: Toklè
Sujet: Alerte: Assassinat du Docteur de Blé Goudé
Posté le: Juil 27, 13 10:12 am (GMT 0)

Le seul crime que ce jeune Medecin talentueix ait comit, c´est celui d´avoir été Medecin de Ble Goudé à moment donné de sa vie.
Dr Saraka Konan, de son vrai nom Konan N´Dri Patrice est mon ami, j´allais dire mon frere d´enfance. Nous avions grandit ensemble et curieusement avionss fait les memes classes du college jusqu´à l´université. Nous etions logés tous sur le Campus à Cocody.
Nous avions fait le college, le lycée, l´université ensemble. C´est seulement à l´Université nous sommes separés, lui la faculté de Medecine et moi xxxx.
Son grand frere et mon grand frere sont aussi des amis du Lycée Scientifique et aussi de l´Université.
Au college et au lycée, on l´appelait Toupe ou Tout Mignon, derivé de Tout Petit, il etait toujours petit et surtout tout mignon. Patrice avait une admiration indescriptible pour moi. Brillant etudiant à la faculté de medecine de l´université, il a finit son parcours estiduantin sans jamais ratter un seul examen.
Voilá un ivoirien aussi brillant que le mossi detient depuis 3 mois dans les sous sol de la dst et aujourd´hui lutte contre la mort.

Urgent – Enlèvement: Dr Konan
Patrice alias Dr Saraka, médecin de Blé Goudé, et membre du Cojep, a été
enlevé lundi soir à Abidjan par la DST





Le médecin particulier du ministre Charles Blé Goudé, le Dr Konan
Patrice alias Dr Saraka, a été enlevé à Abidjan lundi soir aux alentours
de 20h GMT par des hommes en armes, membres selon nos sources de la
DST.

Son enlèvement a eu lieu précisément dans la commune de Cocody.

Il a été conduit vers une destination inconnue.

Nous y reviendrons.


Eric Lassale
http://philippehua.com/2013/04/16/urgent-enlevement-dr-konan-patrice-alias-dr-saraka-medecin-de-ble-goude-et-membre-du-cojep-a-ete-enleve-lundi-soir-a-abidjan-par-la-dst/






Ce qu’ils font subir à Koua Justin, Dr Saraka et Dibopieu: Les révélations d’un agent de la DST

A ce jour, ce sont plusieurs centaines de détenus politiques – civils et
militaires – qui sont détenus ou ont transité par la Direction de la
surveillance du territoire (DST), cette cellule des renseignements
devenue une cellule de torture sous le règne de Ouattara qui dure plus
de deux ans. Suite à la rocambolesque arres - tation du leader de la
JFPI, Koua Justin, dans la soirée du vendredi 7 juin 2013 au siège
provisoire du FPI à Attoban, un agent de la fameuse cellule nous a fait
un certain nombre de révélations sur le séjour de ce dernier dans leurs
locaux. Il a également fait des confidences sur le traitement que
subissent les autres détenus politiques, dont Jean-Yves Dibopieu,
président de la SOAF, et le Dr Saraka du Cojep. «L’arrestation de Koua
Justin était plus une volonté personnelle que politique, comme on tente
de le faire croire», soutient notre interlocuteur. «Volonté personnelle»
et non «volonté politique», quelle nuance véritable entre ces deux
notions ? Toujours est-il que le Secrétaire national de la Jfpi, Koua
Justin, administrateur des services financiers de son état,  a été
arrêté sur ordre de Hamed Bakayoko, ci- devant ministre de l’Intérieur
et de la sécurité publique qui se donne droit de vie et de mort sur les
partisans du président Gbagbo. Le ministre a-t-il fait de l’arrestation
de Koua Justin une affaire personnelle ? Les circonstances de
l’opération telles que relatées par l’agent de la DST tendent à le
prouver.  
«‘‘L’épervier’’ (Ndlr, nom de code utilisé pour
désigner Koua Justin dans le langage des agents de la DST) nous a
beaucoup fatigué. Son arrestation devrait se faire depuis le 1er juin
dernier à Aboisso où des instructions claires avaient été données. Ce
jour-là, nous avions fait couper l’électricité sur la ville d’Aboisso
aux environs de 22h, pensant qu’il y passerait la nuit. C’est après
qu’on nous a dit qu’il avait quitté la ville un peu plus tôt. A Daloa,
on ne sait par quel miracle, il a pu échapper aux mains du préfet de
police et de nos hommes. C’en était trop, il fallait laver ce qui était
considéré par les nôtres comme un affront. Sa «cabale» devrait donc
prendre fin, parce que l’autorité en était irritée», explique
l’informateur du Nouveau Courrier.
«On devrait conduire Koua
Justin chez le ministre» «En plus de quelques agents de la DST, on a eu
recours à près d’une quarantaine d’éléments du CCDO pour l’opération au
siège du FPI. Ils avaient clairement carte blanche pour user de tous les
moyens pour récupérer le colis, ‘‘l’épervier’’. Ceux qui étaient
présents lors de cette descente peuvent en témoigner. Une fois qu’on
avait mis la main sur lui, on hésitait entre le conduire chez le
ministre (Hamed Bakayoko, ndlr) ou dans nos locaux. Joint, le chef (il
refuse de dire s’il s’agit du directeur de la DST lui-même, ndlr), nous
demande de le conduire à la base. C’est donc finalement à la DST que
l’épervier est gardé», révèle-t-il. Dans les faits, Koua Justin a été
d’abord conduit dans les locaux de l’ex-CeCOS (en face du Lycée
classique de Cocody) qui abritent désormais les bureaux annexes de la
DST, avant d’atterrir dans les locaux de la DST, en face de l’Ecole de
gendarmerie. C’est dans ces lieux que le leader de la Jfpi connaitra son
«baptême de feu» de tortures.
Ce que Koua Justin a subi à la DST
Durant trois jours, Koua Justin n’a eu droit ni à de l’eau ni à la
nourriture dans les locaux de la DST. Il n’a pas eu l’occasion de fermer
l’œil durant ces 72 heures de détention – torture à la DST. C’est le
directeur de la DST lui-même, le Commissaire Inza Diomandé qui a procédé
à l’interrogatoire du Secrétaire national par intérim de la Jfpi, le
premier jour, c'est-à-dire durant toute la nuit du vendredi 7 au samedi 8
juin 2013. «Nous avons détenu Koua, sans ses vêtements, selon les
instructions du chef, dans un container où la température était
semblable à l’hiver. Nous l’avions laissé là pendant des heures avant de
commencer l’interrogatoire. Il avait du mal à sortir les mots, tant il
était gelé. Tout était fait en sorte que son moral prenne un coup»,
explique l’agent. Qui n’a pas voulu rentrer dans les détails de
l’interrogatoire proprement dit. Mais selon ses dires, les questions
posées au leader de la JFPI étaient plus que banales et n’avaient aucun
lien avec les quatre chefs d’accusation curieusement retenus contre lui
(trouble à l’ordre public, offense au Chef de l’État, atteinte à la
sûreté de l’État et organisation de bande armée). Koua Justin a été
interrogé sur ses relations avec certains leaders en exil, ce qu’il
pense de… Alassane Ouattara, etc. Après son premier interrogatoire qui
s’est déroulé toute la nuit du vendredi 7 au samedi 8 juin, samedi et
dimanche le même rituel sera répété dans les mêmes conditions. Sans
boire ni manger, le jeune leader d’opinion a même flirté avec la torture
par électrocution. «Quand il s’est agi de prendre sa déposition, il
était trop procédurier. C’est lui qui exigeait la présence de son
avocat. Le chef lui a fait savoir qu’ici (à la DST, ndlr), il n’en avait
pas besoin et qu’en plus, on avait les moyens de lui faire signer tout
document. Le chef a demandé qu’on apporte la ‘‘chaise électrique’’ qui
sert à soutirer toute sorte d’aveu au détenu à l’aide de décharge
électrique. Et tout s’est passé par la suite», révèle-t-il. Koua Justin
aura donc passé 72 heures sans boire ni manger, encore moins voir la
lumière du jour. Il sera ainsi détenu dans des conditions inhumaines
jusqu’au lundi  10 juin dernier, date à laquelle il a été présenté
devant un juge avant d’être placé sous mandat dépôt et conduit à la
Maca.  

Dibopieu et Dr Saraka détenus au sous-sol


Sur les cas de Jean-Yves Dibopieu, arrêté le 5 février au Ghana et
extradé le 6 février 2013 et du Dr Konan Patrice dit Dr Saraka, médecin
particulier de Blé Goudé et membre du Comité central du Cojep, arrêté et
détenu depuis le 16 avril 2013, l’agent de la DST est peu bavard. En
tout cas, il confirme leur présence toujours dans les locaux de la DST,
précisément au sous- sol. Il affirme furtivement qu’ils vont bien. Ils
ont droit comme tous les autres détenus à la maigre ration alimentaire
quotidienne servie à 16h et constituée d’un squelettique poisson et
d’une poignée d’attiéké (plat communément appelé le Garba), ainsi qu’à
une douche aux environs de 21 heures. Ils ont été éprouvés physiquement
et moralement mais ils ont récupéré depuis, lâche-t-il, sans le moindre
détail. Avec une voix qui en dit long sur ce qu’ils auraient pu subir
dans ce centre de torture du régime. Et dire que plusieurs dizaines de
personnes sont détenues dans les locaux de la DST, un véritable centre
de tortures, loin des regards des organisations de défense des droits
humains !

Par Frank Toti

Source: Le Nouveau Courrier N° 821, du Samedi 06 au Dimanche 07 Juillet
http://www.civox.net/Ce-qu-ils-font-subir-a-Koua-Justin-Dr-Saraka-et-Dibopieu-Les-revelations-d-un-agent-de-la-DST_a3156.html

Des pro-Gbagbo torturés selon un agent de la DST
La Direction de la surveillance du territoire (DST), dirigée par le
Commissaire Inza Diomandé depuis la prise du pouvoir par Alassane
Ouattara, est en passe de devenir le plus grand centre de tortures et
autres traitements inhumains de détenus politiques. Un agent de cette
cellule s’est confié au Nouveau Courrier après l’arrestation de Koua
Justin. Des révélations sur les méthodes qui rappellent l’époque nazie !
A ce jour, ce sont plusieurs centaines de détenus politiques – civils
et militaires– qui sont détenus ou ont transité par la Direction de
la surveillance du territoire (DST), cette cellule des renseignements
devenue une cellule de torture sous le règne de Ouattara qui dure plus
de deux ans. Suite à la rocambolesque arrestation du leader de la JFPI,
Koua Justin, dans la soirée du vendredi 7 juin 2013 au siège provisoire
du FPI à Attoban, un agent de la fameuse cellule nous a fait un certain
nombre de révélations sur le séjour de ce dernier dans leurs locaux. Il
a également fait des confidences sur le traitement que subissent les
autres détenus politiques, dont Jean-Yves Dibopieu, président de la
SOAF, et le Dr Saraka du Cojep.

«L’arrestation de Koua Justin était plus une volonté personnelle que
politique, comme on tente de le faire croire», soutient notre
interlocuteur. «Volonté personnelle» et non «volonté politique», quelle
nuance véritable entre ces deux notions ? Toujours est-il que le
Secrétaire national de la Jfpi, Koua Justin, administrateur des services
financiers de son état, a été arrêté sur ordre de Hamed Bakayoko,
cidevant ministre de l'Intérieur et de la sécurité publique qui se donne
droit de vie et de mort sur les partisans du président Gbagbo. Le
ministre a-t-il fait de l’arrestation de Koua Justin une affaire
personnelle ? Les circonstances de l’opération telles que relatées par
l’agent de la DST tendent à le prouver.



«‘‘L’épervier’’ (Ndlr, nom de code utilisé pour désigner Koua Justin
dans le langage des agents de la DST) nous a beaucoup fatigué.
Son arrestation devrait se faire depuis le 1er juin dernier à Aboisso où
des instructions claires avaient été données. Ce jour-là, nous avions
fait couper l’électricité sur la ville d’Aboisso aux environs de 22h,
pensant qu’il y passerait la nuit. C’est après qu’on nous a dit qu’il
avait quitté la ville un peu plus tôt. A Daloa, on ne sait par quel
miracle, il a pu échapper aux mains du préfet de police et de nos
hommes. C’en était trop, il fallait laver ce qui était considéré par les
nôtres comme un affront. Sa «cabale» devrait donc prendre fin, parce
que l’autorité en était irritée», explique l’informateur du Nouveau
Courrier.



«On devrait conduire Koua Justin chez le ministre»



«En plus de quelques agents de la DST, on a eu recours à près d’une
quarantaine d’éléments du CCDO pour l’opération au siège du FPI. Ils
avaient clairement carte blanche pour user de tous les moyens pour
récupérer le colis, ‘‘l’épervier’’. Ceux qui étaient présents lors de
cette descente peuvent en témoigner. Une fois qu’on avait mis la main
sur lui, on hésitait entre le conduire chez le ministre (Hamed Bakayoko,
ndlr) ou dans nos locaux. Joint, le chef (il refuse de dire s’il s’agit
du directeur de la DST lui-même, ndlr), nous demande de le conduire à
la base. C’est donc finalement à la DST que l’épervier est gardé»,
révèle-t-il. Dans les faits, Koua Justin a été d’abord conduit dans les
locaux de l’ex-CeCOS (en face du Lycée classique de Cocody) qui abritent
désormais les bureaux annexes de la DST, avant d’atterrir dans les
locaux de la DST, en face de l’Ecole de gendarmerie. C’est dans ces
lieux que le leader de la Jfpi connaitra son «baptême de feu» de
tortures.



Ce que Koua Justin a subi à la DST 



Durant trois jours, Koua Justin n’a eu droit ni à de l’eau ni à la
nourriture dans les locaux de la DST. Il n’a pas eu l’occasion de fermer
l’oeil durant ces 72 heures de détention – torture à la DST. C’est le
directeur de la DST lui-même, le Commissaire Inza Diomandé qui a
procédé à l’interrogatoire du Secrétaire national par intérim de la
Jfpi, le premier jour, c'est-à-dire durant toute la nuit du vendredi 7
au samedi 8 juin 2013. «Nous avons détenu Koua, sans ses vêtements,
selon les instructions du chef, dans un container où la température
était semblable à l’hiver. Nous l’avions laissé là pendant des heures
avant de commencer l’interrogatoire. Il avait du mal à sortir les mots,
tant il était gelé. Tout était fait en sorte que son moral prenne un
coup», explique l’agent. Qui n’a pas voulu rentrer dans les détails de
l’interrogatoire proprement dit. Mais selon ses dires, les questions
posées au leader de la JFPI étaient plus que banales et n’avaient aucun
lien avec les quatre chefs d’accusation curieusement retenus contre lui
(trouble à l’ordre public, offense au Chef de l’État, atteinte à la
sûreté de l’État et organisation de bande armée).



Koua Justin a été interrogé sur ses relations avec certains leaders
en exil, ce qu’il pense de… Alassane Ouattara, etc. Après son premier
interrogatoire qui s’est déroulé toute la nuit du vendredi 7 au samedi 8
juin, samedi et dimanche le même rituel sera répété dans les
mêmes conditions. Sans boire ni manger, le jeune leader d’opinion a même
flirté avec la torture par électrocution. «Quand il s’est agi de
prendre sa déposition, il était trop procédurier. C’est lui qui exigeait
la présence de son avocat. Le chef lui a fait savoir qu’ici (à la DST,
ndlr), il n’en avait pas besoin et qu’en plus, on avait les moyens de
lui faire signer tout document. Le chef a demandé qu’on apporte la
‘‘chaise électrique’’ qui sert à soutirer toute sorte d’aveu au détenu à
l’aide de décharge électrique. Et tout s’est passé par la suite»,
révèle-t-il. Koua Justin aura donc passé 72 heures sans boire ni mange,
encore moins voir la lumière du jour. Il sera ainsi détenu dans des
conditions inhumaines jusqu’au lundi 10 juin dernier, date à laquelle il
a été présenté devant un juge avant d’être placé sous mandat de dépôt
et conduit à la Maca.



Dibopieu et Dr Saraka détenus au sous-sol



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